Psaume à méditer

le Psaume 22 , plein de confiance, à lire, à
méditer , à prier tous les jours  en famille pendant cette période de
confinement. Je vous laisse le soin de le partager.
 Père Joachin

(Ps 22 (23), 1-2ab, 2c-3, 4, 5, 6)

R/ Le Seigneur est mon berger :
rien ne saurait me manquer.
 (cf. Ps 22, 1)

Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.

message aux paroissiens

Chers paroissiens,
Nous voici entrés depuis midi dans une période nouvelle et inconnue dans la lutte que toute l’humanité mène contre la pandémie due au virus covid19. Il est primordial pour chacun d’entre nous de respecter le plus strictement possible les consignes d’isolement demandées par le gouvernement, afin de limiter autant que faire se peut la propagation du virus et le nombre de personnes infectées. C’est notre devoir de citoyen responsable, c’est aussi et surtout notre devoir de chrétien.

Le Pape François nous rappelle souvent l’importance de la sauvegarde de notre maison commune, la terre.

En évitant d’être contaminé par le virus ou de le propager nous prenons soin de nous et de nos frères, en particulier ceux qui sont en situation la plus précaire. C’est ainsi que nous répondons au commandement du Christ d’aimer notre prochain. Cela ne doit pas nous empêcher de garder le contact avec eux (téléphone, mails, courses alimentaires si possible…). Mais ce temps d’isolement ne doit pas nous faire mettre notre foi et notre vie spirituelle entre parenthèses. Au contraire c’est le moment de nous adapter, d’innover en fonction des contraintes, de nous recentrer sur la prière et la Parole du Christ, de vivre notre foi en famille. La plupart des activités des paroisses et du diocèse sont interdites: formation, réunion, conseil paroissial, préparations baptêmes et mariages, et autres… et les accueils paroissiaux et maisons paroissiales tout comme la maison diocésaine sont fermés jusqu’à nouvel ordre. Toutes les liturgies publiques sont annulées, messes dominicales et en semaine, baptêmes, mariages, temps de prière, … pour les funérailles une adaptation permet une courte célébration au cimetière, et cela jusqu’à nouvel ordre.

Alors que pouvons-nous faire ? Comment vivre ce temps dans la foi et l’espérance ?

Prière : Prier chez soi, seul, en famille, avec les enfants en s’aidant de ce que l’église nous propose, offices de la liturgie des heures, prières sur différents supports ou sites.

Chapelet : le sanctuaire de Lourdes propose une neuvaine à Notre Dame de Lourdes à partir d’aujourd’hui 17 mars jusqu’au 25 mars. Nous pouvons nous y associer et le suivre si besoin sur KTO à 15h30.

Messe : suivre la messe du Pape le matin à 7h sur KTO (visible à toute heure de la journée en replay) ou l’écouter à la radio (RCF, Radio Espérance à 11h30) Ou être en union avec les prêtres de la paroisse : j’ai demandé que nous célébrions tous les quatre au même moment notre messe quotidienne, tous les jours à 11h30 afin que les paroissiens puissent s’unir à ce moment par la prière et la lecture des textes du jour. Pour le dimanche nous célébrerons ensemble en privé la messe dominicale à 10h30.

Lecture de la Parole : prendre le temps pendant la journée de lire un passage de la bible ou les lectures du jour pour être en union avec l’Église universelle…
Suivre le Christ c’est écouter se Parole la méditer et la mettre en pratique.

Voilà quelques pistes pour vivre notre foi dans ce temps de confinement qui renouvelle notre pratique.
Unis à tous par la prière
Père Jean-Hugues Malraison



Le sacrement de la réconciliation :  » la confession »

Frères et sœurs,
 » Au nom du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu » 2Cor 5, 20
Le sacrement de la réconciliation est l’un « des oublis de dimanche ». On n’y pense pas souvent.  Il est bien de rappeler ici que ce sacrement par lequel nous accueillons la grâce et la miséricorde de Dieu, est heureusement toujours d’actualité.
Là où il y a les péchés, là surabonde la grâce de Dieu.  Le péché, c’est quoi? D’emblée, c’est tout ce qui nous coupe de Dieu. Et la confession sert à renouer ce lien coupé entre nous et Dieu. Chacun de nous est relié à Dieu par une corde, il y a des moments où la corde est tendue, et plusieurs fois, elle est coupée. Plus on fait de nœud reliant le lien coupé, plus la corde se raccourci. Cette image rappelle l’importance de la confession dans notre vie spirituelle. Elle nous rapproche de Dieu.
Ne laissons donc pas tomber dans l’oubliette ce sacrement du pardon qui nous procure tant de bien.   « Nous sommes soulagés, nous nous sentons libres,  apaisés et  aimés de Dieu dans nos faiblesses, et dans nos fragilités.  Voilà, ce que nous ressentons  après la confession. Que des grâces. 
Le Dieu d’amour et de miséricorde nous pardonne à chaque fois que nous lui demandons pardon. La joie d’être pardonnée, n’a pas de prix.  Nous ne pouvons pas également imaginer la joie de Dieu de nous retrouver, ses enfants qu’il a tant attendus.  « Il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit ‘(Lc 15,10)
Nous sommes attendus. Profitons ce temps de l’Avent, venons entretenir notre vie spirituelle par la confession, par l’entretien, ou pourquoi pas par une simple rencontre avec les prêtres. N’ayons pas peur d’eux, ils sont là pour ne pas vous juger mais pour témoigner l’amour  et la miséricorde de Dieu pour chacun de nous. 

AVENT 2019

Célébrations pénitentielles suivies de confessions individuelles.

Église d’Agnin, mardi 17 Décembre, 15 h.

Église de Saint Clair du Rhône, mardi 17 Décembre à 19 h.

Église de Salaise sur Sanne, vendredi 20 Décembre à 15 h.

Église de Ville sous Anjou, vendredi 20 Décembre à 19h.

Confessions individuelles

Églises de Péage de Roussillon et d’Anjou de 10h à 11 h.

Samedi 30 Novembre 2019

Samedi  7 Décembre 2019

Samedi 14 Décembre 2019 

Samedi 21 Décembre 2019.


Présentation générale des rencontres Venez et Voyez

Mardi 24 septembre, les prêtres, les diacres, les membres des équipes paroissiales et les membres des services mariage, baptême et catéchèse ont participé à la rencontre organisée par le Service Évangélisation du diocèse. Les 2 principes de ce parcours sont l’éveil à la foi des personnes accueillies lors de demande de sacrement ou de catéchèse et l’éveil de la conscience missionnaire de la communauté paroissiale.

Comprendre les règles de grammaire par l’évangile…

La grammaire française n’est pas facile à apprendre pour les écoliers. Arrivés au collège, voire au lycée, ils n’en n’ont toujours pas (ou presque…) assimilé la complexité. Pourtant, la plupart des règles s’explique, et il faut remonter à la mise en place de ces règles, au tournant du XVIème siècle.

Au XVIème siècle, les grammairiens ont donc eu la charge de fixer la langue française. Très croyants pour la totalité d’entre eux, ils ont tenté de questionner l’évangile pour définir les règles.

C’est l’évangile de Saint Luc, (chapitre 12, verset 15) qui a été considéré comme décisif. Le Christ dit « Gardez-vous bien de toute avidité, car la vie de quelqu’un ne dépend pas de ce qu’il possède ».
Les grammairiens, humanistes pour la plupart, et suivant cette affirmation du Christ, en ont déduit qu’il n’était pas possible de faire accorder le verbe avoir.
Ainsi donc, le verbe être s’accorde « l’important c’est ce que je suis » mais pas le verbe avoir : « ce que j’ai n’est pas important ».
Poussant la discussion plus à fond, l’un d’eux a fait remarquer que lorsque le complément d’objet direct est placé avant le verbe, l’appartenance (l’avoir) ne coulait pas de source ; et  ils ont donc décidé de faire accorder : La fleur que j’ai cueillie.

Dommage que l’explication ne soit plus enseignée ; l’évangile est un trésor pour bien des choses….

Thierry MERLE

Dimanche 30 juin 2019

Comme demandé par notre évêque, les paroisses de St Pierre en Roussillonnais et de Notre-Dame des Sources organisent un repas partagé tous les mois comprenant 5 dimanches en collaboration avec le Secours Catholique de Roussillon.

Dans ce cadre, nous étions une quarantaine à partager un repas convivial et bien garni ( !) le dimanche 30 juin après la messe, dans le jardin de la cure, à l’ombre des arbres …

En plus de quelques accueillis, plusieurs jeunes de l’aumônerie étaient aussi présents avec le Père Davy.

Quelques photos « souvenir »  …

Vendredi 24 mai

Réunion du CPP de Notre Dame des Sources et de l’équipe élargie de St Pierre en Pays Roussillonnais

Une trentaine de laïcs venant des deux paroisses ont répondu à l’invitation du Père Jean-Hugues, des prêtres, des diacres et des Équipes Paroissiales.

A la suite d’un temps de Prière, dans  un tour de table chacun à présenter son clocher ou son service. Ces informations nous  ont permis de mieux nous connaître et de concrétiser la réalité de nos deux paroisses.

Merci aux bénévoles qui œuvrent au service des paroissiens.

Pour construire l’avenir, le Père Jean-Hugues a repris les principaux souhaits de la lettre pastorale de notre Évêque datant de février 2019. Les fraternités locales étant un point fort à développer ou à créer ainsi qu’un projet pastoral d’Évangélisation.

Dimanche 24 mars : 1er scrutin

Dimanche 24 mars 2019, s’est déroulé le 1er scrutin du parcours de catéchuménat de Mélanie, une jeune femme de 28 ans qui désire ardemment recevoir le baptême chrétien.

Cette étape, qui s’est déroulée dans l’église d’Anjou, a permis aux paroissiens de découvrir  que recevoir le baptême d’adulte nécessite de vérifier la  force et la profondeur de la foi ; il faut « sonder les cœurs et les reins ».

Pour cela un dialogue s’instaure, au cours de la messe, après l’homélie,  entre la future baptisée et le prêtre assisté des accompagnateurs.  Après cet échange, elle a le reçu l’encart de la prière du Credo qui constitue le fondement de notre foi catholique.    

La catéchumène portait  l’écharpe violette qu’elle a  reçue des mains de sa marraine lors de l’appel décisif par l’Evêque à Moirans, le 10 mars dernier.

                                                                                        Bernard DOAT, accompagnateur