Vœux

Vendredi 26 janvier le Père Jean-Claude a présenté ses vœux aux Paroissiens de Notre Dame des Sources en Sanne-Dolon.

La rencontre a commencé par la diffusion de photos, qui a permis de retracer ce qui s’était déroulé au cours de l’année 2017 dans notre paroisse. Après l’intervention du Père Jean-Claude, Nicole a pris la parole pour rapporter ce qui se vit dans les deux groupes de partage biblique, animés par Martine Rousset.

Ensuite Nicole s’est faite porte-parole du MCR. Ce mouvement regroupe les deux paroisses, Notre Dame des Sources en Sanne-Dolon et Saint Pierre en pays Roussillonnais. Avec Jean-Paul ils nous ont parlé du voyage que le MCR organise le Mardi 29 mai au CENTRE D’ACCUEIL CHAMPAGNAT à SAINT-CHAMOND.

Philipe Gay économe paroissial nous a présenté un bilan sur la trésorerie.

C’est en partageant la galette des rois que ce moment d’échange et de convivialité c’est terminé.

Mais n’oublions pas le message de Père Jean-Claude lors des vœux à la Paroisse Saint Pierre en Pays Roussillonnais le 12 janvier 2018.

les vœux de la paroisse Saint Pierre ont fait écho aux propos du pape François
« Il y a le “dire” et le “faire” a plaidé le père Lefèbvre
C’est devenu le leitmotiv du pape François, chef spirituel et chef d’un état (le Vatican) dont la diplomatie est l’une des plus jalousée au monde. Il faut accueillir, protéger, intégrer les migrants et les réfugiés. Au risque de ne pas être compris par certains catholiques, il portera encore ce discours dimanche prochain, à Rome, en célébrant la messe lors de la journée mondiale qui s’adresse à ces populations. Rien de cela ne choque le père Lefebvre, en charge des paroisses Saint Pierre en
Pays roussillonnais et Notre Dame des Sources. Cette position du Saint Siège, au contraire, il la revendique et s’en est ouvert hier soir lors de ses vœux, à la salle paroissiale des cités. « Dans bien des domaines, on ne peut en rester à l’intention », a t il plaidé, malicieux, en évoquant « le pape François qui nous engage à faire l’expérience de la miséricorde divine ». « On ne peut plus faire l’autruche »
« Briser les murs de la haine, de la division », « faire le choix de se laisser convertir par l’esprit de Dieu », telle est en substance la ligne tracée hier soir par le prêtre roussillonnais, qui revendique le fait d’être aux côtés du pape «comme ces gens qui se mettent en route pour accueillir des migrants ». « Il y a le “dire” et le “faire “» a appuyé le père Lefebvre, partisan d’une action qui s’avère être aussi un vrai geste politique. Car l’action, le prêtre la pratique au quotidien. Les paroisses dont il a la charge hébergent deux familles, une albanaise, l’autre arménienne à Anjou et aux Roches de Condrieu. L’été dernier, une famille kosovare soutenue par le prêtre et des fidèles finalement été prise en charge par la commune de Salaise sur Sanne. Certains sont déboutés du droit d’asile, d’autres attendent. « J’ai appelé l’attention du préfet sur une famille qui attend depuis sept ans qu’on statue sur son cas et dont les enfants ont appris le français, jamais, il n’a répondu », assure le prêtre en colère. Un jeune Albanais, également pris en charge a tout de même reçu des papiers. « Il se trouvait à à l’ancien Formule 1 de Chanas qui est totalement bondé. Maintenant on va l’aider pour qu’il trouve un emploi, qu’il soit autonome. »
Pour subvenir financièrement aux besoins des migrants, le père travaille avec les associations, dont l’une, Saint Martin, dépend du diocèse. L’aspect juridique est géré par l’association de parrainage républicain des demandeurs d’asile et de protection, basée en Pays roussillonnais. « On ne peut plus faire l’autruche face à ces situations qui vont se poursuivre. Heureusement, il existe une chaîne de solidarité », assure le père Lefebvre. Celui ci constate aussi que le discours du pape sur le sujet fait évoluer les esprits. « Et de toute façon, quoi qu’on pense du sujet, c’est une réalité qu’il faut bien prendre en compte », estime-t-il, avant de conclure : « Et pour nous, c’est un défi ! »

Article de Georges AUBRY

Partage d’évangile lundi 8 janvier 2018

Toujours dans le cadre de notre réflexion autour de la notion d’Église nous nous penchons sur la lettre aux Galates au chapitre 2 des versets 11 à 21

Après nous être réjouies de la bonne fréquentation et de la qualité des différentes messes de Noël auxquelles chacune a pu assister, nous lisons le passage concerné. Il est difficile. Au terme de notre temps d’étude voici quelques réflexions qui ont émergées de notre groupe :

La phrase de Paul « je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi » est relevée comme essentielle

. Bien que plutôt « carré » Paul sait se montrer accueillant aux païens. Sans lui ces derniers seraient -ils devenus chrétiens ? Le serions nous nous mêmes ?

Paul irrite parfois mais il faut reconnaître que son courage et son audace amènent à s’interroger :

Avons nous l’audace de notre propre foi ?

L’opposition nette que fait Paul entre la loi et la foi semble claire mais ce qui est plus difficile c’est de s’en expliquer au dehors. En matière d’explications le retrait est plus facile.

De nos jours la transmission de la foi emprunte des chemins nouveaux : rassemblements de jeunes, réseaux sociaux, mais elle est toujours bien vivante.

Il nous appartient de nous ouvrir à d’autres types de pratiques plus « laïques » à travers lesquelles il est possible de sentir passer « quelque chose de Noël ».

Chercher Dieu, s’appliquer à lire les grâces du ciel dans la vie ordinaire et si on le peut en parler semble aussi une piste. Il y a sans doute plusieurs manières de « faire église » à explorer, sans toutefois oublier que foi et amour sont indissociables et que le Christ est la tête de l’église. C’est en restant tourné vers Lui que nous serons bien « Son » église.

À ces réflexions issues de notre séance qu’il me soit permis de rajouter ceci :

D’après saint Paul on reste tourné du côté de Jésus lorsqu’on se situe dans la foi en l’amour du Christ pour nous. Mais nous devons rester vigilants quant à notre orientation profonde. Pour St Paul la loi est liée au péché car elle institue un régime de peur : elle nous fait vivre dans la crainte de mal faire. La foi au contraire nous entraîne dans l’ élan d’amour des enfants de Dieu qui passent du « scrupulisme » à la confiance qu’ils sont pardonnés. Pour autant cela ne signifie pas que l’on fasse n’importe quoi mais si l’on agit de bon cœur et « de bonne foi » cela suffit.

Qu’en pensez vous ?

Repas partagé samedi 30 décembre 2017

A l’appel de l’Évêque de Grenoble-Vienne Guy de Kérimel, les paroisses de Saint Pierre en Pays Roussillonnais et Notre Dame des Sources en Sanne-Dolon ont organisé plusieurs repas partagés au cours de l’année. Pour le réveillon, ce sont ainsi une soixantaine de personnes qui se retrouvaient à la salle Notre Dame des Cités autour du Père Jean-Claude, afin d’être au plus proche des fidèles et des personnes qui bataillent dur dans la vie. Chacun ayant apporté un plat il y a eut abondance !

Le prochain repas partagé se déroulera à Anjou le dimanche 29 avril prochain.

L’Avent…

L’Avent… Quatre semaines qui précèdent Noël, et dont la plupart de nos contemporains connaissent au moins le nom…

Mais mis à part les bougies disposées autour d’une couronne, où tel calendrier qui donne un compte à rebours, savons-nous goûter ce temps de conversion qui nous est donné pour mieux nous préparer à la joie de Noël ?

« Préparez-vous à la venue du Sauveur » nous disent les textes du premier dimanche. Cette question pourtant fondamentale est-elle audible dans notre société occidentale ? Aujourd’hui, il faut admettre que le refus de la vérité transcendantale entraine une vision partielle de la personne, la soumettant à des courants de pensée plus ou moins éphémères, bien souvent réducteurs et relativistes. On n’atteint pas la réalité de l’homme, ni par des analyses sociologiques, ni par les vérités scientifiques… ni même par ce que l’on voit. La personne humaine relève aussi de la vérité métaphysique…

Seul le Dieu qui vient, sait étancher la soif de l’homme dans son désir d’absolu et d’infini. Et lorsque la crèche sera là, nous n’hésiterons pas à nous émerveiller devant elle en lui disant : « Puissions nous Jésus, être unis ta divinité, toi qui est venu rejoindre notre humanité… »

Repas partagés au sein de nos paroisses

Dans la Lettre pastorale de Pentecôte 2013, notre Evêque Monseigneur Guy de Kerimel écrivait : « Pour que peu à peu les plus défavorisés se sentent chez eux dans nos communautés, je demande à chaque paroisse d’organiser un dimanche par mois un repas fraternel et convivial à la suite de l’Eucharistie dominicale… » En janvier 2015 dans une lettre aux « agents pastoraux « du diocèse, notre Evêque écrivait : «  Les repas avec et non pour les personnes démunies et marginalisées sont aussi des occasions de vivre la fraternité et sont sources de joie, là où ils ont été initiés…. »

Depuis le 30 avril 2017, avec la participation active du Secours Catholique, le repas partagé a lieu dans nos paroisses le cinquième samedi ou dimanche du mois soit à Anjou, soit à la salle Notre Dame des Cités.

Le prochain repas est fixé salle Notre Dame des Cités le 30 décembre à 19h. Il sera précédé de la Messe à 18 heures, pour ceux qui le désirent. Chacun invite une personne en difficulté. Il serait bien de proposer également à des personnes isolées de nous rejoindre lors de ces repas. Nous apportons notre repas et un peu plus et tout est mis en commun pour passer une bonne soirée en fraternité.

Nouvelle version du Notre Père

à compter du 3 décembre 2017 nous réciterons la nouvelle version du Notre Père

Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre-nous du Mal.

Vous pouvez l’écouter en cliquant sur ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=X7uBkTcx3Jg

 

Message du secours catholique aux messes du 18 et 19 novembre 2017

C’est (demain) aujourd’hui la journée mondiale des pauvres instituée par notre pape François et en même temps la journée nationale du secours catholique. Belle coïncidence !

Lors de sa visite en Isère le 6 octobre, notre présidente, Véronique Fayet, nous a laissé un message fort : pour vivre ensemble et dans la confiance, chacun doit pouvoir contribuer à la société et être protégé. Les contributions peuvent être multiples et ouvrent un champ très vaste, bien sûr par l’emploi ou le bénévolat, mais aussi par toutes sortes d’actions quotidiennes d’entraide et de présence auprès de toutes les personnes en difficulté. Certaines, les plus fragiles, ont besoin d’être protégées, c’est bien évident. Toutes ne le sont pas.

Aussi, le secours catholique a construit collectivement des orientations, au travers de son nouveau projet national, en réponse aux observations faites lors de nos rencontres et de nos accueils.

Ce n’est une surprise pour personne, de signaler que les associations d’entraide et de soutien social sont de plus en plus sollicitées, et ont des difficultés à répondre aux besoins. Mais fidèlement, les bénévoles et salariées de notre association font preuve d’une écoute humaine permettant à chacun d’accéder à plus de reconnaissance, même s’il n’est pas facile de répondre parfois à des personnes qu’il n’y a pas de place d’hébergement et de les renvoyer coucher dehors. Nous sommes souvent témoins du courage et de la réussite de personnes que nous accompagnons.

Tous acteurs, y compris les personnes en difficultés, telle est la conviction du secours catholique si l’on veut construire ensemble un monde juste et fraternel. Nous vous invitons à nous rejoindre et à nous soutenir, au moins financièrement. La quête de ce jour est entièrement affectée pour couvrir ses besoins. Vous trouverez aussi à la sortie des enveloppes vous permettant de faire des dons ponctuels ou réguliers.

Nous sommes une quarantaine de bénévoles à Roussillon.
Mardi de 13h30 à 16h30 nous recevons vêtements, lin de maison, vaisselle et petit électro-ménager.Mercredi de 13h30 à 16h30 atelier tricot.
Mercredi et vendredi de 13h30 à 16h30 : accueil, écoute, boutique solidaire ouverte à tous.
Nous proposons un soutien scolaire, l’accueil familial de vacances, des camps d’adolescents.
Des lumignons pour le 8 décembre et Noël sont offerts à votre générosité.
Braderie de jouets début décembre.
Foire aux livres au printemps.
Brocante en mai au profit d’un projet international.
Nous serions heureux d’agrandir notre équipe et accueillerions avec joie de nouveaux bénévoles.

Visitation à la Paroisse Sainte Croix du Rhône

Paroisse Sainte Croix du Rhône
Paroisse Saint Pierre en Pays Roussillonnais
Paroisse Notre Dame des Sources en Sanne-Dolon

 

Visitation à la Paroisse Sainte Croix du Rhône 

 « A l’écoute de l’Esprit »

SAMEDI 28 OCTOBRE 2017.

Vous êtes chaleureusement invités à nous rejoindre à

L’Abbaye Saint Pierre  Champagne.

9h       -Accueil Café

9h30   – Présentation rapide des paroisses

– Vidéos (Paroisse Ste Croix) et Notre Dame

10h     – Intervention. (P. Jean-Claude)

10h20 – Partage en groupe pour réflexion

  1. Pour vous, qui dites-vous que je suis ?
  2. Qu’est-ce qui empêche aujourd’hui dans la société et l’Église de reconnaître Jésus-Christ ?
  3. Qu’est-ce qui me paraît le plus important de garder aujourd’hui ?

11h15          Pause.

11h30         Mise en commun.

Remontée sur la 3ème question.

11h50         Départ vers l’église

12h02        Prière du milieu du jour.

12h15         Apéritif (salle Ste Marie)

Possibilité de repas partagé pour ceux qui le souhaitent.