8 février 2018 : rencontre des équipes liturgiques

Nous étions une cinquantaine de personnes ce jeudi à la salle des Cités .
L’ambiance était bon enfant, chacun et chacune a pu poser ses questions au Père Jean-Claude pendant le diaporama qui était projeté.

Nous avons revu les objets, linges ,vêtements, les couleurs des temps liturgiques

Comment préparer une église en fonction des célébrations. 

Ces petites révisions nous ont permis de retrouver le sens de certains gestes , ne serait-ce que pour préparer la crédence .

Les sœurs des Roches de Condrieu avaient amené linges ,

ciboire

Ciboire en laiton doré avec symbole Ch Ro

et calice

Calice Molina laiton mariage s1

et nous ont montré le pliage de ces linges .


Cette rencontre fut enrichie par l’enseignement que nous avions reçu le samedi 3 février à Vienne.

Nous avons aussi abordé la préparation de la messe par une équipe.

Ce qu’il faut retenir entre autres :

Demander en début de messe que les custodes soient apportées sur l’autel avant le début de la célébration.

La prière universelle doit être lue à l’ambon.

Un petit fascicule a été remis à chaque clocher .

Il est souhaitable que les membres de ce clocher se rencontrent pour enrichir ce livret avec des détails pratiques tels que :

Lieu où se trouve la clé du tabernacle

Comment démarrer le chauffage

Lumières , cierges, allumettes ou briquet

La musique ….
qui sont bien gênants quand on ne sait pas où cela se trouve…..

Ce livret doit rester dans la sacristie, si possible dans un classeur, et pas trop caché !

La possibilité d’un atelier couture pour confectionner des linges liturgiques a été évoquée.
Si vous êtes intéressées faites vous connaître soit à la maison paroissiale, soit auprès d’un membre d’une équipe.

compte rendu partage biblique 8 février 2018

Toujours dans le cadre de notre réflexion autour de la notion d’Église nous nous penchons sur la lettre aux Galates au chapitre 2 des versets 11 à 21

Après nous être réjouies de la bonne fréquentation et de la qualité des différentes messes de Noël auxquelles chacune a pu assister, nous lisons le passage concerné. Il est difficile. Au terme de notre temps d’étude voici quelques réflexions  qui ont émergées de notre groupe :
La phrase de Paul « je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi » est relevée comme essentielle. Bien que plutôt « carré » Paul sait se montrer accueillant aux païens. Sans lui ces derniers seraient -ils devenus chrétiens ? Le serions nous nous mêmes ?
Paul irrite parfois mais il faut  reconnaître que  son courage et son audace  amènent  à s’interroger :
Avons nous l’audace de notre propre foi ?
L’opposition nette que fait Paul entre la loi et la foi semble claire mais ce qui est plus difficile c’est de s’en expliquer au dehors. En matière d’explications le retrait est plus facile.
De nos jours la transmission de la foi emprunte des chemins nouveaux : rassemblements de jeunes, réseaux sociaux, mais elle est toujours bien vivante.
Il nous appartient de nous ouvrir à d’autres types de pratiques plus « laïques » à travers lesquelles il est possible de sentir passer « quelque chose de Noël ». Chercher Dieu, s’appliquer à lire les grâces du ciel dans  la vie ordinaire et si on le peut en parler semble aussi une piste. Il y a sans doute plusieurs manières de « faire église » à explorer, sans toutefois  oublier que foi et amour sont indissociables et que le Christ est la tête de l’église. C’est  en restant tourné vers Lui que nous serons bien « Son » église.
À ces réflexions issues de notre séance qu’il me soit permis de rajouter ceci :
D’après saint Paul on reste tourné du côté de Jésus lorsqu’on se situe dans la foi en l’amour du Christ pour nous. Mais nous devons rester vigilants quant à notre orientation profonde. Pour St Paul la loi est liée au péché car elle institue un régime de peur : elle nous fait vivre dans la crainte de mal faire. La foi au contraire nous entraîne dans l’ élan d’amour des enfants de Dieu qui passent du « scrupulisme » à la confiance qu’ils sont pardonnés. Pour autant cela ne signifie pas que l’on fasse n’importe quoi mais si l’on agit de bon cœur et « de bonne foi » cela suffit.
Qu’en pensez vous ?

Vœux

Vendredi 26 janvier le Père Jean-Claude a présenté ses vœux aux Paroissiens de Notre Dame des Sources en Sanne-Dolon.

La rencontre a commencé par la diffusion de photos, qui a permis de retracer ce qui s’était déroulé au cours de l’année 2017 dans notre paroisse. Après l’intervention du Père Jean-Claude, Nicole a pris la parole pour rapporter ce qui se vit dans les deux groupes de partage biblique, animés par Martine Rousset.

Ensuite Nicole s’est faite porte-parole du MCR. Ce mouvement regroupe les deux paroisses, Notre Dame des Sources en Sanne-Dolon et Saint Pierre en pays Roussillonnais. Avec Jean-Paul ils nous ont parlé du voyage que le MCR organise le Mardi 29 mai au CENTRE D’ACCUEIL CHAMPAGNAT à SAINT-CHAMOND.

Philipe Gay économe paroissial nous a présenté un bilan sur la trésorerie.

C’est en partageant la galette des rois que ce moment d’échange et de convivialité c’est terminé.

Mais n’oublions pas le message de Père Jean-Claude lors des vœux à la Paroisse Saint Pierre en Pays Roussillonnais le 12 janvier 2018.

les vœux de la paroisse Saint Pierre ont fait écho aux propos du pape François
« Il y a le “dire” et le “faire” a plaidé le père Lefèbvre
C’est devenu le leitmotiv du pape François, chef spirituel et chef d’un état (le Vatican) dont la diplomatie est l’une des plus jalousée au monde. Il faut accueillir, protéger, intégrer les migrants et les réfugiés. Au risque de ne pas être compris par certains catholiques, il portera encore ce discours dimanche prochain, à Rome, en célébrant la messe lors de la journée mondiale qui s’adresse à ces populations. Rien de cela ne choque le père Lefebvre, en charge des paroisses Saint Pierre en
Pays roussillonnais et Notre Dame des Sources. Cette position du Saint Siège, au contraire, il la revendique et s’en est ouvert hier soir lors de ses vœux, à la salle paroissiale des cités. « Dans bien des domaines, on ne peut en rester à l’intention », a t il plaidé, malicieux, en évoquant « le pape François qui nous engage à faire l’expérience de la miséricorde divine ». « On ne peut plus faire l’autruche »
« Briser les murs de la haine, de la division », « faire le choix de se laisser convertir par l’esprit de Dieu », telle est en substance la ligne tracée hier soir par le prêtre roussillonnais, qui revendique le fait d’être aux côtés du pape «comme ces gens qui se mettent en route pour accueillir des migrants ». « Il y a le “dire” et le “faire “» a appuyé le père Lefebvre, partisan d’une action qui s’avère être aussi un vrai geste politique. Car l’action, le prêtre la pratique au quotidien. Les paroisses dont il a la charge hébergent deux familles, une albanaise, l’autre arménienne à Anjou et aux Roches de Condrieu. L’été dernier, une famille kosovare soutenue par le prêtre et des fidèles finalement été prise en charge par la commune de Salaise sur Sanne. Certains sont déboutés du droit d’asile, d’autres attendent. « J’ai appelé l’attention du préfet sur une famille qui attend depuis sept ans qu’on statue sur son cas et dont les enfants ont appris le français, jamais, il n’a répondu », assure le prêtre en colère. Un jeune Albanais, également pris en charge a tout de même reçu des papiers. « Il se trouvait à à l’ancien Formule 1 de Chanas qui est totalement bondé. Maintenant on va l’aider pour qu’il trouve un emploi, qu’il soit autonome. »
Pour subvenir financièrement aux besoins des migrants, le père travaille avec les associations, dont l’une, Saint Martin, dépend du diocèse. L’aspect juridique est géré par l’association de parrainage républicain des demandeurs d’asile et de protection, basée en Pays roussillonnais. « On ne peut plus faire l’autruche face à ces situations qui vont se poursuivre. Heureusement, il existe une chaîne de solidarité », assure le père Lefebvre. Celui ci constate aussi que le discours du pape sur le sujet fait évoluer les esprits. « Et de toute façon, quoi qu’on pense du sujet, c’est une réalité qu’il faut bien prendre en compte », estime-t-il, avant de conclure : « Et pour nous, c’est un défi ! »

Article de Georges AUBRY

Éveil à la foi samedi 13 janvier 2018

La 2e réunion d’Éveil à la Foi s’est déroulée le samedi 13 janvier 2018 de 10h30à 12h à la salle paroissiale de l’Église Notre Dame des Cités. Des activités ont été proposées aux enfants, autour du thème de l’Épiphanie.

8 enfants, accompagnés de leur Papa, Maman ou Mamie, étaient présents.

Le Père Lefebvre a commencé la séance en expliquant aux enfants le sens de cette fête. Un coffre en bois contenant des objets, symbolisant les présents des Rois Mages : l’or, l’encens et la myrrhe, leur a été présenté.

Il comportait également un message à colorier par les enfants, mentionnant les trésors que Dieu nous offre : prière, bonheur, confiance, vie, paix, amour.

Après la pause goûter, les enfants ont pris leurs crayons de couleur : Rois Mages, Enfant Jésus et Étoile ont été bien coloriés.

Un temps de prière a clôturé cette matinée , qui s’est passée dans la bonne humeur.

A bientôt pour notre prochain rendez-vous, le samedi des Rameaux.

Partage biblique du 18 janvier 2018

Le thème général est « la prière ». Ce soir nous méditons le magnificat en Luc 1- 46,56

Plusieurs d’entre nous sont attentifs à la confiance dont fait preuve Marie. La joie de Marie nous ne la trouvons pas toujours. Le texte peut paraître bien abstrait, mais il invite à avancer avec Dieu. Le remerciement dont Marie est remplie , ce remerciement permanent glorifiant Dieu pour Sa bonté et Sa générosité n’est pas forcément ce que nous faisons le mieux et le plus souvent.

Si Dieu nous parle nous ne l’entendons pas toujours mais :

notre bonheur en Dieu , celui qui rend Marie si heureuse, nous pouvons le trouver dans les rencontres, dans l’action, dans l’écoute ou l’empathie pour trouver et donner le réconfort. Il ne s’agit pas d’attendre que Dieu nous parle mais de comprendre que Dieu parle à travers nos actes.

Au fond dans ce texte Dieu nous explique qui était Marie , pleine de Dieu, et donc par le fait il nous est révélé qui est Dieu.

Veillée de Noël à l’église d’Anjou

Le 24 décembre à 17h les enfants et les parents réunis dans l’église attendaient la venue de Jésus.


Les enfants du catéchisme avaient fabriqué des anges en pomme de pin et des lumignons pour orner l’église ainsi que des étoiles et des anges en carton distribués à tous les enfants présents.

La veillée commença par un conte : Stella, une petite étoile au ciel de Noël .Tous les enfants sont regroupés au pied de la crèche et écoutent attentivement ce joli conte :

Stella, une des plus petites étoiles du ciel est attirée par un groupe d’anges qui chantaient les merveilles de Dieu, elle est arrivée au Paradis.

 

Un jour elle suit l’ange Gabriel qui descend sur terre et assiste à l’Annonciation :

 

 

 

 

Stella reste avec la Sainte Vierge et l’accompagne avec Saint Joseph dans leur voyage jusqu’à Bethléem. Elle aimerait tant les aider dans la recherche d’hôtel, il ne reste qu’une petite étable et c’est la que Jésus vint au monde !

 

 

 

 

Les bergers puis les mages viennent adorés l’enfant Jésus et

 

 

 

 

 

Stella reçoit la mission de prévenir les mages de retourner ensuite dans leur pays sans passer voir Hérode.

 

 

 

Stella découvre que personne n’est trop petit pour Dieu ;

Pendant ce temps les enfants présents ont déposé Jésus dans la crèche et ont accroché leur étoile ou leur ange sur la grande étoile et l’ange.

Les fidèles participaient en chantant

Et la messe se poursuivit par le déroulement habituel.

Chacun est reparti chez soi en ayant découvert qu’il est précieux pour Dieu et que Jésus est venu sur terre pour qu’un jour nous puissions « marcher avec lui au ciel »

Partage d’évangile lundi 8 janvier 2018

Toujours dans le cadre de notre réflexion autour de la notion d’Église nous nous penchons sur la lettre aux Galates au chapitre 2 des versets 11 à 21

Après nous être réjouies de la bonne fréquentation et de la qualité des différentes messes de Noël auxquelles chacune a pu assister, nous lisons le passage concerné. Il est difficile. Au terme de notre temps d’étude voici quelques réflexions qui ont émergées de notre groupe :

La phrase de Paul « je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi » est relevée comme essentielle

. Bien que plutôt « carré » Paul sait se montrer accueillant aux païens. Sans lui ces derniers seraient -ils devenus chrétiens ? Le serions nous nous mêmes ?

Paul irrite parfois mais il faut reconnaître que son courage et son audace amènent à s’interroger :

Avons nous l’audace de notre propre foi ?

L’opposition nette que fait Paul entre la loi et la foi semble claire mais ce qui est plus difficile c’est de s’en expliquer au dehors. En matière d’explications le retrait est plus facile.

De nos jours la transmission de la foi emprunte des chemins nouveaux : rassemblements de jeunes, réseaux sociaux, mais elle est toujours bien vivante.

Il nous appartient de nous ouvrir à d’autres types de pratiques plus « laïques » à travers lesquelles il est possible de sentir passer « quelque chose de Noël ».

Chercher Dieu, s’appliquer à lire les grâces du ciel dans la vie ordinaire et si on le peut en parler semble aussi une piste. Il y a sans doute plusieurs manières de « faire église » à explorer, sans toutefois oublier que foi et amour sont indissociables et que le Christ est la tête de l’église. C’est en restant tourné vers Lui que nous serons bien « Son » église.

À ces réflexions issues de notre séance qu’il me soit permis de rajouter ceci :

D’après saint Paul on reste tourné du côté de Jésus lorsqu’on se situe dans la foi en l’amour du Christ pour nous. Mais nous devons rester vigilants quant à notre orientation profonde. Pour St Paul la loi est liée au péché car elle institue un régime de peur : elle nous fait vivre dans la crainte de mal faire. La foi au contraire nous entraîne dans l’ élan d’amour des enfants de Dieu qui passent du « scrupulisme » à la confiance qu’ils sont pardonnés. Pour autant cela ne signifie pas que l’on fasse n’importe quoi mais si l’on agit de bon cœur et « de bonne foi » cela suffit.

Qu’en pensez vous ?

Repas partagé samedi 30 décembre 2017

A l’appel de l’Évêque de Grenoble-Vienne Guy de Kérimel, les paroisses de Saint Pierre en Pays Roussillonnais et Notre Dame des Sources en Sanne-Dolon ont organisé plusieurs repas partagés au cours de l’année. Pour le réveillon, ce sont ainsi une soixantaine de personnes qui se retrouvaient à la salle Notre Dame des Cités autour du Père Jean-Claude, afin d’être au plus proche des fidèles et des personnes qui bataillent dur dans la vie. Chacun ayant apporté un plat il y a eut abondance !

Le prochain repas partagé se déroulera à Anjou le dimanche 29 avril prochain.