Présentation générale des rencontres Venez et Voyez

Mardi 24 septembre, les prêtres, les diacres, les membres des équipes paroissiales et les membres des services mariage, baptême et catéchèse ont participé à la rencontre organisée par le Service Évangélisation du diocèse. Les 2 principes de ce parcours sont l’éveil à la foi des personnes accueillies lors de demande de sacrement ou de catéchèse et l’éveil de la conscience missionnaire de la communauté paroissiale.

Comprendre les règles de grammaire par l’évangile…

La grammaire française n’est pas facile à apprendre pour les écoliers. Arrivés au collège, voire au lycée, ils n’en n’ont toujours pas (ou presque…) assimilé la complexité. Pourtant, la plupart des règles s’explique, et il faut remonter à la mise en place de ces règles, au tournant du XVIème siècle.

Au XVIème siècle, les grammairiens ont donc eu la charge de fixer la langue française. Très croyants pour la totalité d’entre eux, ils ont tenté de questionner l’évangile pour définir les règles.

C’est l’évangile de Saint Luc, (chapitre 12, verset 15) qui a été considéré comme décisif. Le Christ dit « Gardez-vous bien de toute avidité, car la vie de quelqu’un ne dépend pas de ce qu’il possède ».
Les grammairiens, humanistes pour la plupart, et suivant cette affirmation du Christ, en ont déduit qu’il n’était pas possible de faire accorder le verbe avoir.
Ainsi donc, le verbe être s’accorde « l’important c’est ce que je suis » mais pas le verbe avoir : « ce que j’ai n’est pas important ».
Poussant la discussion plus à fond, l’un d’eux a fait remarquer que lorsque le complément d’objet direct est placé avant le verbe, l’appartenance (l’avoir) ne coulait pas de source ; et  ils ont donc décidé de faire accorder : La fleur que j’ai cueillie.

Dommage que l’explication ne soit plus enseignée ; l’évangile est un trésor pour bien des choses….

Thierry MERLE

Dimanche 30 juin 2019

Comme demandé par notre évêque, les paroisses de St Pierre en Roussillonnais et de Notre-Dame des Sources organisent un repas partagé tous les mois comprenant 5 dimanches en collaboration avec le Secours Catholique de Roussillon.

Dans ce cadre, nous étions une quarantaine à partager un repas convivial et bien garni ( !) le dimanche 30 juin après la messe, dans le jardin de la cure, à l’ombre des arbres …

En plus de quelques accueillis, plusieurs jeunes de l’aumônerie étaient aussi présents avec le Père Davy.

Quelques photos « souvenir »  …

Vendredi 24 mai

Réunion du CPP de Notre Dame des Sources et de l’équipe élargie de St Pierre en Pays Roussillonnais

Une trentaine de laïcs venant des deux paroisses ont répondu à l’invitation du Père Jean-Hugues, des prêtres, des diacres et des Équipes Paroissiales.

A la suite d’un temps de Prière, dans  un tour de table chacun à présenter son clocher ou son service. Ces informations nous  ont permis de mieux nous connaître et de concrétiser la réalité de nos deux paroisses.

Merci aux bénévoles qui œuvrent au service des paroissiens.

Pour construire l’avenir, le Père Jean-Hugues a repris les principaux souhaits de la lettre pastorale de notre Évêque datant de février 2019. Les fraternités locales étant un point fort à développer ou à créer ainsi qu’un projet pastoral d’Évangélisation.

Dimanche 24 mars : 1er scrutin

Dimanche 24 mars 2019, s’est déroulé le 1er scrutin du parcours de catéchuménat de Mélanie, une jeune femme de 28 ans qui désire ardemment recevoir le baptême chrétien.

Cette étape, qui s’est déroulée dans l’église d’Anjou, a permis aux paroissiens de découvrir  que recevoir le baptême d’adulte nécessite de vérifier la  force et la profondeur de la foi ; il faut « sonder les cœurs et les reins ».

Pour cela un dialogue s’instaure, au cours de la messe, après l’homélie,  entre la future baptisée et le prêtre assisté des accompagnateurs.  Après cet échange, elle a le reçu l’encart de la prière du Credo qui constitue le fondement de notre foi catholique.    

La catéchumène portait  l’écharpe violette qu’elle a  reçue des mains de sa marraine lors de l’appel décisif par l’Evêque à Moirans, le 10 mars dernier.

                                                                                        Bernard DOAT, accompagnateur

Les couleurs des temps liturgiques

Le fond de couleur de l’entête de notre site internet change selon le temps liturgique où nous sommes.Petit rappel :Au XVI° siècle, avec le Concile de Trente il est admis cinq couleurs, déjà utilisées depuis longtemps :

le blanc, le rouge, le vert, le violet, le noir. Ces couleurs sont signifiantes car elles expriment la fête, la passion, l’espérance, la pénitence, le deuil.C’est au XIX° siècle que ces couleurs liturgiques ont été définitivement codifiées.Il y a également une tradition de couleur rose pour certains dimanches de l’Avent et du Carême et de couleur bleue pour les fêtes mariales.

Le vert : Couleur liturgique du temps ordinaire, évoquant la croissance de l’Église, grâce à la sève venue de Dieu.Le Violet : Dans la liturgie, le violet est la couleur des temps de pénitence (Avent et Carême) ; on l’uti­lise aussi pour les célébrations pénitentielles, ainsi que pour les offices des défunts

Le rouge : Couleur liturgique qui évoque le sang ou le feu. Elle est utilisée le dimanche de la Passion (ou dimanche des Rameaux), le Ven­dredi saint, le jour de la Pentecôte et aux messes en l’honneur du Saint-Esprit, en la fête de l’Exaltation de la sainte Croix le 14 sep­tembre, aux fêtes des Apôtres et évangélistes, et aux fêtes des saints martyrs.

Le blanc : Couleur liturgique des ornements utilisés au temps de Noël et au temps pascal. On la retrouve aux fêtes de la dédicace, de la Vierge Marie, des anges, des pasteurs, des docteurs de l’Église, des saints et des saintes qui ne sont pas martyrs. Le blanc évoque la pureté, mais plus encore la Gloire divine et l’éclat de tout ce qui touche à Dieu. C’est la couleur de la résurrection.

Le noir : Peut être utilisée lors des messes d’enterrement et le 2 novembre (commémoration des défunts). Parfois le violet remplace le noir.

Le rose : La couleur rose est portée moins fréquemment que les autres couleurs et utilisée 2 fois par an, pour les dimanches de Laetare (4eme dimanche de Carême) et de Gaudete (3eme dimanche de l’Avent).

week-end confirmation 2/3 février 2019

Pour les émotions, le compte était bon…

Le 2 février nous nous sommes retrouvés à la cathédrale St Maurice pour un entrainement sur la procession, les chants, le déroulement de la messe, et bien sur les retrouvailles. Nos parrains et marraines de confirmation étaient la aussi et ont pu savoir ce qu’ils avaient à faire durant la messe. Ce fut un instant bref mais suffisant pour préparer le lendemain.

Le 3 février, de nouveau a la cathédrale St Maurice, se déroula la fameuse messe de la confirmation. Nous avons eu le programme des chants complet, et l’église était remplie. Il y avait notamment l’évêque, des prêtres et huit enfants de cœur. L’évêque nous a confirmé un à un, nous qui étions épaulés par nos parrains. La messe fût un moment fort en chants et surtout en émotions. Les temps de prières m’ont semblé riches et l’esprit saint était présent partout, de nos écharpes jusqu’aux lumières rouges disposées autour de l’autel.

Personnellement je ne suis pas prêt d’oublier cette journée, ni mes camarades avec qui j’ai partagé ce merveilleux parcours.

Alexandre

Ce dimanche nous, jeunes de l’aumônerie avons reçu le sacrement de la confirmation. Nous avons assistés à une magnifique cérémonie et malgré le stress, j’étais heureuse et émue d’accueillir à nouveau l’Esprit Saint dans mon cœur afin qu’il guide mes pas dans ma vie de jeune et de future adulte.

Amélie