Vœux

C’est le début de l’année 2019, l’époque des vœux pour tous, mais aussi de la galette partagée… ! Malgré toutes nos occupations, nous étions environ 80 personnes réunies dans l’église d’Anjou, le Mercredi 9 Janvier, pour entendre notre nouveau prêtre, Père Jean-Hugues Malraison, nous parler de ses projets pour l’année à venir (différents pèlerinages : Lourdes, La Salette et pourquoi pas Rome), Ensuit ,  Agnès nous a projeté des photos sur le bilan 2018.  Enfin pour retenir toutes les informations, invitation à partager une excellente galette des rois, accompagnée du verre de l’amitié (bulles ou pas). Merci à tous les organisateurs et à tous les participants pour ce moment de convivialité qui nous a permis peut-être, de rencontrer de nouveaux paroissiens.

LE PAPE FRANÇOIS « Un homme de Parole »

Paroisse Saint Pierre en Pays Roussillonnais
Paroisse Notre Dame des Sources en Sanne Dolon.

 

Vous êtes invités à la projection du film documentaire

 

LE PAPE FRANÇOIS

 « Un homme de Parole »

Le lundi 4 Février 2019 à 15 h à Bourg Argental

Déplacement en car

Séance + car  =  10 € par personne

Règlement par chèque à l’inscription à l’ordre de la Paroisse Saint Pierre avant le 20 Janvier auprès des Maisons paroissiales de Péage ou d’Anjou.

Départ d’Anjou, rendez-vous à 13h15

Départ Roussillon, place de la République, rendez-vous à 13h30

Retour en fin d’après-midi.

La journée noël de l’aumônerie…

C’était une très belle journée. Malgré le fait que nous n’étions pas bien nombreux, nos supers animateurs, Xavier, Astrid, le père Davy et Stéphanie, accompagnés de deux parents, ont su animer ces heures de partage. Nous avons commencé par la messe,

puis nous nous sommes retrouvés à la maison paroissiale pour déjeuner tous ensemble, puis nous avons eu plusieurs jeux, des quizz, des mots croisés, des itinéraires fléchés, et une chasse au trésor dont la carte était un puzzle.

Personnellement j’ai adoré, et comme tout les noëls, Astrid a été très présente pour organiser les jeux, avec de bonnes idées. J’espère que nous serons plus nombreux l’an prochain…

 

Alexandre

8 décembre

Les illuminations du 8 décembre sont liées au culte de la Vierge Marie, dont la colline de Fourvière est le haut-lieu. Chapelle et basilique s’y sont succédées depuis le Moyen-âge. Les Lyonnais y implorèrent le secours de Marie dans les calamités publiques et donnèrent  une grande solennité à la fête de la naissance de la Vierge, le 8 septembre.                                                                                                    En 1852, on achevait à Lyon la reconstruction du clocher de la vieille chapelle de Fourvière. Au sommet de l’édifice, on avait placé une statue de la Vierge Marie en bronze doré. Elle devait être inaugurée le 8 septembre,   mais une inondation dans l’atelier du fondeur retarda la cérémonie au 8 décembre, autre fête de la Vierge, celle de l’Immaculée Conception.
Ce jour-là, des feux d’artifice étaient prévus mais une pluie torrentielle s’abattit sur la ville.  A la tombée de la nuit, le ciel s’éclaircit et la pluie s’arrêta.  « Tout à coup apparaissent à quelques fenêtres inconnues des lignes de feu… La ville s’était embrasée en un instant. Bientôt, il ne restait plus, sur la vaste étendue des quais, des rues, des passages ignorés et des cours invisibles, aucune fenêtre obscure. Les petits marchands, les clochers, illuminaient leurs baraques, leurs voitures et jusqu’aux bordures des trottoirs…   Quelques feux de Bengale s’allumèrent sur les toits de la chapelle de Fourvière, la statue de la Vierge apparaît et la grosse cloche de Saint Jean, cet éloquent interprète des joies publiques, est lancée à toute volée. A huit heures, la population entière était dans la rue, circulant, paisible, joyeuse et attendrie. On se serrait la main sans se connaître, on chantait des cantiques, on applaudissait, on criait :
Vive Marie ! » Les étrangers n’en revenaient pas de leur surprise, et les Lyonnais, tout remplis qu’ils étaient de cette fête improvisée, se demandaient comment, en un instant, une population de trois cent mille âmes avait pu être saisie de la même pensée ». L’événement éphémère d’une nuit devint institution.
On prépara avec soin les illuminations de 1853. Quant à celles de 1854, elles furent un triomphe, car elles coïncidaient avec la proclamation par le Pape, à Rome, du dogme de l’Immaculée Conception. Les Lyonnais avaient la fierté des précurseurs.                                                                                                Depuis, chaque année, le soir du 8 décembre, les Lyonnais illuminent leur ville pour la fête de l’Immaculée Conception.

Dogme de l’Immaculée Conception 

Un dogme est une vérité de foi solennellement proclamée par le Pape pour être accueillie par l’Église.     Ainsi, le 8 décembre 1854, dans la Bulle Ineffabilis Deus, le pape Pie IX déclarait :
« Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine qui tient que la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier instant de sa conception, par une grâce et une faveur singulière du Dieu tout puissant, en vue des mérites de Jésus Christ, Sauveur du genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu’ainsi elle doit être crue fermement et constamment par tous les fidèles »

Être visiteur du SEM, témoin et porteur de la Bonne Nouvelle.

Rencontre conviviale de  la  pastorale de la santé
Pour les visiteurs en Ehpad, à domicile et les porteurs de communion occasionnels.
Jeudi 10 janvier 2019   14h30-16h15
Salle des Cités  3, rue Jean Moulin 38150 Roussillon

 

Être visiteur du SEM, témoin et porteur de la Bonne Nouvelle.

Être visiteur du SEM, c’est  être envoyé par le curé et l’équipe paroissiale auprès des personnes âgées, isolées, handicapées. C’est aussi rencontrer et écouter des familles, des aidants et des soignants.

Il ne s’agit pas de venir dire de bonnes paroles, de consoler ou de conseiller. Il s’agit de plus que cela. Il s’agit d’offrir une présence comme un cadeau, une écoute aimante et bienveillante respectueuse du rythme des personnes visitées.

Nous ne sommes pas seuls à accompagner dans un « prendre soin » les personnes que nous visitons, ce qui nous anime c’est la confiance en Dieu. Nos visites sont précédées d’une prière où nous confions à Dieu nos rencontres pour que s’y vive sa volonté et non la nôtre.

Des formations organisées par le diocèse nous permettent d’acquérir des   « savoir être » dans la relation avec les personnes souffrantes et la formation à l’écoute plus particulièrement donne des outils précieux pour être au plus juste avec elles.  Une écoute active permet alors que s’ouvre un chemin d’espérance dans l’épreuve de la maladie, de la souffrance ou du grand âge. Toute relation en vérité avec l’autre nous met en présence du mystère de l’autre- de l’Autre.

Pouvoir relire en équipe le récit (anonyme) de nos rencontres, c’est voir le travail de la grâce dans nos vies, Dieu qui se révèle à nos yeux par sa force d’amour qui donne vie et remet debout.

Formation à l’écoute 1 pour les visiteurs du doyenné du Viennois :
Deux journées indissociables :
vendredi 18 janvier 9h-16h30 et vendredi 1er février 9h-17h
salle des Cités : 3, rue Jean Moulin 38150 Roussillon
Sur inscription
Renseignements : Béatrice MERLE 06 06 53 26 02

Repas du 15 08 salle E Romanet

Après la messe à la Madone, les paroissiens se sont retrouvés sur la place de la Mairie de Viile sous Anjou pour partager le verre de l’Amitié.

Après ce temps convivial,  les personnes désirant partager le repas ont rejoint la salle des fêtes  Emile Romanet.

 

(photo le DL/Marius Jouffrey)

Le Père Jean-Claude Lefebvre était entouré du Père Philippe Rey,  responsable du Doyenné, des diacres Bernard Buisson et Thierry Merle, du Père Basile prêtre coopérateur, de Béatrice Merle aumônier LEME pastorale de la santé, les Religieuses d’Anjou et des Roches de Condrieu, les membres des équipes paroissiales et les responsables des services.  Le Père Jean-Hugues Malraison, remplaçant du Père Jean-Claude, a pu nous rejoindre. Dans l’assemblée, plusieurs  élus des communes étaient présents.

Au milieu de repas, les diacres ont retracé les principaux événements et temps forts vécus avec le Père Jean-Claude pendant les douze années écoulées. Econome des deux paroisses, Mr Philippe Gay a  évoqué les travaux effectués sur les bâtiments et  ceux à réaliser.

(photo le DL/Marius Jouffrey)

Un petit groupe, réuni pour l’événement,  a poussé la chansonnette.

Au moment de la présentation du gâteau, les équipes paroissiales ont remis au Père Jean-Claude des livres et une invitation pour participer à un atelier : « chocolat ».

(photo le DL/Marius Jouffrey)

Le Père Jean-Claude a remercié chaleureusement les participants,  et à donner la parole au Père Jean-Hugues pour une brève présentation.

Puis tous nous avons dégusté le gâteau  accompagné de Crémant et de café.

Avec  les derniers remerciements, le père Jean-Claude,  nous a souhaité bonne continuation au service de nos paroisses et de l’Evangile.

15 août 2018 : Messe à la Madone

Comme tous les ans pour cette Fête du 15 août, beaucoup de fidèles  de tous les villages environnants prennent le temps de venir se ressourcer  au pied de la Madone de Terrebasse, lieu paisible et propice à la méditation.

C’est par le son des cloches , merci à Frédéric pour la technique !! que la messe a débutée.

Cette année aussi  chacun est venu avec ses peines, ses doutes, ses certitudes, ses déceptions, ses projets, mais surtout avec la joie de partager une belle messe pour rendre grâce au Père Jean-Claude qui quitte nos deux paroisses après 12 années de « bons et loyaux services ».

Cette célébration mise en place par le Père André et bien ancrée dans la vie de la paroisse depuis de très nombreuses années a su fédérer beaucoup de monde car le Père Jean-Claude a su lui aussi garder son caractère solennel et néanmoins festif à cette messe de l’Assomption de Marie.

Les membres de l’Hospitalité Dauphinoise, qui arrivent de leur pèlerinage à Lourdes, ont participé avec  conviction, par leurs lectures et leurs chants ; dirigés de main de maître par Rodolphe et si bien accompagnés au clavier par Agnès.

Tous les enfants  avec leur bouquet à l’offertoire prouvent s’il en est besoin que les jeunes aussi  s’impliquent avec joie lorsque l’on leur demande.

Cette messe a revêtu un caractère encore plus solennelle avec la présence de Thierry Merle, et Bernard Buisson diacres, et  Père Philippe Rey  et Père Basile  pour accompagner Père Jean-Claude dans la célébration de cette Eucharistie.

Les applaudissements au Père Jean-Claude en fin de célébration signifiaient bien que chacun lui souhaite, non pas une bonne retraite, car il n’arrête pas sa mission de Prêtre, mais du moins d’avoir un peu plus de temps à lui en restant bien ancré dans le vie de religieux qu’il a choisie.

Cette célébration fût le reflet de ce que chacun attend en montant à la Madone, retrouver un regard d’enfant, et repartir dans l’allégresse pour continuer son chemin de vie.

Dimanche 29 juillet : repas partagé

 

C’est le dimanche 29 juillet qu’à eu lieu notre repas partagé de cet été.

Après la célébration à l’église d’Anjou où se pressait une assistance nombreuse (il a fallu partager les hosties….) beaucoup se sont retrouvés sous les ombrages de la maison paroissiale pour partager un repas.

Il y avait des paroissiens, il y avait des représentants du secours catholique.

Il y avait aussi des personnes seules qui ont pu, le temps d’un repas profiter d’un moment de convivialité dans la bonne humeur ; il y avait aussi des étrangers, qui peinent à trouver place dans notre société opulente : des européens de l’Est, des Méditerranéens, des Africains du Congo, du Nigéria…

Elle est belle l’Eglise lorsqu’elle met en pratique ce que nous dit le Christ dans l’évangile…

 

Un très bon moment de partage donc, où beaucoup ont pu échanger, sur tous les sujets, mais aussi sur les bonheurs et les difficultés de leur vies ;  et lorsqu’il a fallu partir, le sujet était de savoir quand serait la prochaine rencontre…