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feuille-de-chant-noel-2016
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Chantd’entrée : La première en chemin
L’Attente de Celui qui vient sous le signe de la fidélité à son amour : en lien avec la mission et la rencontre.
Avec le quatrième dimanche de l’Avent, notre parcours arrive à son terme. Un terme qui, au lieu de nous enfermer, ouvre l’horizon de l’attente de Celui qui vient sous le signe de la fidélité à son amour, en lien avec la mission et la rencontre.
Dieu, en effet, n’est pas perdu dans les nuages. Il se fait proche de nous, se montre à nous et vient habiter parmi nous. C’est l’Emmanuel. Il ne déçoit jamais ceux qui, comme Marie et Joseph, savent qu’il est à jamais fidèle à son amour.
Accueillons cette lumière qui vient. Allons ! En marche, les mains prêtes à reconnaître le signe de Dieu (Isaïe), à reconnaître et à annoncer la Bonne Nouvelle (Paul), reconnaître et à accueillir l’Emmanuel (Joseph). Allons ! Nourris et façonnés par la Parole, allons porter l’espérance à nos frères. Allons dire au monde que la gloire de Dieu habite la terre. Allons proclamer la merveille du Verbe incarné, qui prend chair de notre chair. Allons témoigner et célébrer Dieu en nos frères.
Que la proximité de ce quatrième dimanche de l’Avent à Noël, rende notre attente confiante et engagée.
-Lecture de la lettre de Saint Paul apôtre aux Romains (1,1-7) après la communion,et la bougie monte du fond de l’église
-la quatrième bougie monte du fond de l’église pour la couronne de l’avent.
Texte envoi en mission :
Nous sommes au terme de la période liturgique de l’Avent, durant laquelle nous avons médité ensemble, et d’une façon plus approfondie que d’ordinaire, sur la venue définitive de Notre Seigneur Jésus Christ. Dans la vigilance, nous avons attendu Celui qui vient, le Messie, que le prophète Isaïe avait annoncé comme l’Emmanuel, Dieu-avec-nous, promesse réalisée à travers la Vierge Marie, la Servante du Seigneur, et son époux très chaste, Joseph, le Serviteur fidèle et juste.
Dans nos deux paroisses, Saint Pierre en Pays Roussillonnais et Notre Dame des Sources en Sanne-Dolon, nous avons été invités à accompagner notre cheminement de ce temps fort de l’Avent d’une démarche liturgique ponctuée suivant les quatre moments de la messe. Le premier dimanche nous a fait vivre l’attente de Celui qui vient, en lien avec l’accueil et la réconciliation ; le deuxième dimanche a mis l’accent sur l’attente de Celui qui vient, en lien avec la Parole lue, proclamée, crue et priée ; le troisième dimanche a tourné notre regard vers l’attente de Celui qui vient, en lien avec l’offrande, le partage et le service; et le quatrième et dernier dimanche vient de porter sur l’attente de Celui qui vient sous le signe de la fidélité à son amour, en lien avec la mission et la rencontre.
Oui, « né de l’Esprit, établi Fils de Dieu par sa résurrection, [Celui que nous attendons] est devenu le Messie de toutes les nations ; nous avons reçu mission de les amener à l’obéissance de la foi », de rendre les hommes saints. Rien de moins. « Pour y parvenir, accueillons la grâce et la paix. Dieu nous les donne en son Fils. C’est cela Noël ».
Fortifiés par les multiples grâces de l’Avent, « allons [donc] porter l’espérance à nos frères. Allons dire au monde que la gloire de Dieu habite la terre. Allons proclamer la merveille du verbe incarné, qui prend chair de notre chair. Allons témoigner et célébrer Dieu en nos frères ». Qu’à travers nous, le Seigneur soit « Emmanuel », Dieu présent au milieu des hommes. Soyons pour ceux que nous côtoierons une rédemption.
Bonne fête de Noël !
Père Basile
–Chant d’envoi : Allez par toute la terre
Chant d’entrée : Jubilez crier de joie
L’Attente de Celui qui vient sous le signe de la joie : en lien avec la partage, l’offrande et le service.
Appelé traditionnellement « dimanche de la joie » (Gaudete, en latin), ce dimanche nous invite à nous réjouir parce que, là, sous nos yeux, le Seigneur sauve et délivre, notamment les faibles et les pauvres. Voilà qui oriente, en ce troisième dimanche de l’Avent, l’attente de Celui qui vient sous le signe de la joie, en lien avec le partage, l’offrande et le service.
Prenons courage. Dans la joie, n’ayons pas peur d’ouvrir nos yeux pour voir, nos oreilles pour entendre, nos mains pour partager. Ne craignons pas d’actionner nos pas pour aller à la rencontre de l’autre, mon prochain, qui espère la grâce de ma présence, de mon secours et de mon soutien. Patience, déjà le monde nouveau vient (Isaïe), déjà le Seigneur vient (Jacques), déjà nous voyons et entendons (Jésus). Que la joie de voir le Seigneur partager notre humanité et porter avec Lui et sur Lui nos infirmités, nous fasse durer dans la patience pour que notre charité soit généreuse, constante, inventive et toujours à la hauteur des besoins de nos frères et sœurs.
Que la joie du Christ qui vient, Celui le même hier, aujourd’hui et demain, nous introduise dans une attente active puisque patiente et joyeuse.
Pour en savoir plus sur les couleurs des temps liturgiques cliquez sur ce lien : Les couleurs des temps liturgiques
-lecture : (Isaïe 35,1-6a,10)
–Psaume 145
-Lecture : (Jacques 5,7-10)
-Évangile : (Matthieu 11,2-11)
-Offrande : On ne passe pas faire la quête mais les gens se lèvent et se déplacent pour apporter leur offrande
-Pendant le refrain (Les mains ouvertes) de la prière universelle la troisième bougie de la couronne arrive du fond de l’église.
Couronne de l’avent on allume la troisième bougie.
Pour avoir les informations sur la conférence organisée par le MCR cliquez sur le lien ci-dessous.
Les enfants du catéchisme se sont retrouvés samedi 10 décembre dans l’après-midi, pour un temps sur l’Avent et pour préparer la veillée de Noël.
Ensuite des ateliers de bricolage étaient organisés :
Les plus jeunes ont réalisés un triptyque
les autres un dizainier.
Les plus grands une lanterne pour la veillée de Noël.
Les enfants se sont tous retrouvés pour le gouter.
Nous avons terminé le temps fort à Chambalud pour la messe du 3eme dimanche de l’Avent ,dimanche de la JOIE.
Nous sommes toujours sur le thème de la relation à autrui. Nous étudions le chapitre 22 de la Genèse qu’on pourrait titrer « Abraham sacrifiant »
La découverte de ce texte est vécue par certains comme une véritable révélation. Au départ ce texte s’avérait pour certains d’entre nous plutôt âpre : un Dieu qui demande à Abraham quelque chose d’horrible puis qui à la dernière minute se ravise après avoir constaté la soumission d’Abraham. Voilà qui ne nous va pas très bien parce que ne correspondant pas au Dieu de bonté dont Jésus est l’image.
Nous reprécisons tout d’abord le contexte culturel de l’époque où les sacrifices humains étaient courants -rappelons nous d’Iphigénie-.
Nous évoquons l’idée qu’il ne s’agit peut-être pas de soumission mais de confiance : « Dieu va faire quelque chose d’inattendu même si je ne sais pas quoi, il ne va pas laisser filer les choses ainsi » serait alors la conviction d’Abraham.
Allant plus loin dans la réflexion nous constatons que l’interprétation d’Abraham : « Dieu me demande de sacrifier mon fils » est une interprétation possible mais il y en a une autre : « fais un sacrifice accompagné de ton fils, non pas pour le tuer lui, mais en tuant avec lui un animal pour Dieu » Hors cette idée ne vient pas à l’esprit d’Abraham et pas non plus à l’idée du lecteur biblique que nous sommes, du moins en première approche. Cette réaction à la demande de Dieu, la nôtre comme celle d’Abraham, pourrait alors être pour nous le miroir du Dieu que nous avons en tête. Quelle est notre image de Dieu pourrait-on se demander alors.
En poursuivant nous constatons dans le texte les mouvements intérieurs d’Abraham, quelque chose dans son for intérieur, sa conscience , « bouge ».
Dieu en fait va se révéler à lui et à nous, comme profondément différent des dieux assoiffés et implacables qu’avait jusque là imaginés l’humanité. Le Dieu d’Abraham ne demande pas la mort mais veut la vie.
En fait il s’agirait plutôt pour Abraham de se libérer de ses « broussailles intérieures » comme le bélier qui le symbolise et par là de se sacrifier lui comme père possessif, afin de libérer Isaac pour le laisser aller librement vers son Père du ciel. C’est entre Abraham père possessif et Isaac fils possédé que le couteau du sacrifice doit passer, non pour qu’Isaac meure mais pour qu’il vive au contraire et permette la réalisation de la promesse « Abraham, père d’une multitude ».
Nous évoquons donc, au fil de cette étude, l’importance de notre conscience personnelle, lieu ultime de Dieu et de ses mouvements profonds qui nous renseignent sur « ce que Dieu veut »,(difficultés pour être à l’écoute de cela) et bien sûr nos difficultés personnelles en tant que parent notamment pour « laisser aller » nos enfants devenus adolescents vers leur vie propre.
Chant d’entrée : Écoute la voix du Seigneur A 548
L’Attente de Celui qui vient sous le signe de la paix : en lien avec la Parole méditée, communiquée et mise en pratique.
Ce deuxième dimanche de l’Avent porte l’attente de Celui qui vient sous le signe de la paix, en lien avec la Parole méditée, communiquée et mise en pratique.
La liturgie nous invite, avec Jean-Baptiste, à accueillir le Christ qui vient maintenant et dès à présent et à ouvrir autour de nous le temps de la paix pour tous les hommes.
Sollicités à regarder vers le Christ notre salut et notre paix, ayons le cœur retourné face à l’incroyable (Isaïe), face à la miséricorde (Paul) et face au royaume tout proche (Jésus). Par le fait, élargissons les dimensions de notre attente à la lumière de la Parole du jour qui est une en Celui qui a pour nom « Prince de la paix » et fait grandir son Royaume à travers le monde. Prenons le temps d’écouter la Parole. Laissons-la passer par notre corps et résonner en notre cœur. Que cette Parole de Dieu, semence de vie et promesse de salut produise en nous les bons fruits de la conversion et de l’amour.
Que notre attente, en ce deuxième dimanche de l’Avent, soit celle qui espère des lendemains de paix et de justice. Que nous soyons hommes ou femmes, demandons à Marie de nous apprendre à porter en nous la Parole, comme elle a porté en elle l’enfant Jésus avant de le mettre au monde.
Lecture du livre d’Isaïe (11, 1-10)
Un rameau sortira de la souche de Jessé, père de David, un rejeton jaillira de ses racines. Sur lui reposera l’esprit du Seigneur: esprit de sagesse et de discernement, esprit de conseil et de force, esprit de connaissance et de crainte du Seigneur qui lui inspirera la crainte du Seigneur. Il ne jugera pas d’après les apparences, il ne tranchera pas d’après ce qu’il entend dire. Il jugera les petits avec justice, il tranchera avec droiture en faveur des pauvres du pays. Comme un bâton, sa parole frappera le pays, le souffle de ses lèvres fera mourir le méchant. Justice est la ceinture de ses hanches; fidélité, le baudrier de ses reins.
Le loup habitera avec l’agneau, le léopard se couchera près du chevreau, le veau et le lionceau seront nourris ensemble, un petit garçon les conduira. La vache et l’ourse auront même pâturage, leurs petits auront même gîte. Le lion, comme le bœuf, mangera du fourrage. Le nourrisson s’amusera sur le nid du cobra, sur le trou de la vipère l’enfant étendra la main.
Il ne se fera plus rien de mauvais ni de corrompu sur ma montagne sainte; car la connaissance du Seigneur remplira le pays comme les eaux recouvrent le fond de la mer.
Ce jour-là, la racine de Jessé, père de David, sera dressée comme un étendard pour les peuples, les nations la chercheront, et la gloire sera sa demeure.
En ces jours-là, fleurira la justice,
grande paix jusqu’à la fin des temps.
(cf. Ps 71, 7)
Dieu, donne au roi tes pouvoirs,
à ce fils de roi ta justice.
Qu’il gouverne ton peuple avec justice,
qu’il fasse droit aux malheureux !
En ces jours-là, fleurira la justice,
grande paix jusqu’à la fin des lunes !
Qu’il domine de la mer à la mer,
et du Fleuve jusqu’au bout de la terre !
Il délivrera le pauvre qui appelle
et le malheureux sans recours.
Il aura souci du faible et du pauvre,
du pauvre dont il sauve la vie.
Que son nom dure toujours ;
sous le soleil, que subsiste son nom !
En lui, que soient bénies toutes les familles de la terre ;
que tous les pays le disent bienheureux.
Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Romains
Frères, tout ce qui a été écrit à l’avance dans les livres saints
l’a été pour nous instruire, afin que, grâce à la persévérance et au réconfort des Écritures, nous ayons l’espérance.
Que le Dieu de la persévérance et du réconfort vous donne d’être d’accord les uns avec les autres selon le Christ Jésus.
Ainsi, d’un même cœur, d’une seule voix, vous rendrez gloire à Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ.
Accueillez-vous donc les uns les autres, comme le Christ vous a accueillis pour la gloire de Dieu.
Car je vous le déclare : le Christ s’est fait le serviteur des Juifs,
en raison de la fidélité de Dieu, pour réaliser les promesses faites à nos pères ; quant aux nations, c’est en raison de sa miséricorde
qu’elles rendent gloire à Dieu, comme le dit l’Écriture :
C’est pourquoi je proclamerai ta louange parmi les nations,
je chanterai ton nom.
– Parole du Seigneur.
Alléluia. Alléluia.
Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers :
tout être vivant verra le salut de Dieu.
Alléluia.
(cf. Lc 3, 4.6)
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ces jours-là, paraît Jean le Baptiste, qui proclame dans le désert de Judée : « Convertissez-vous, car le royaume des Cieux est tout proche. »
Jean est celui que désignait la parole prononcée par le prophète Isaïe :
Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur,
rendez droits ses sentiers.
Lui, Jean, portait un vêtement de poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins ; il avait pour nourriture des sauterelles et du miel sauvage.
Alors Jérusalem, toute la Judée et toute la région du Jourdain
se rendaient auprès de lui, et ils étaient baptisés par lui dans le Jourdain
en reconnaissant leurs péchés.
Voyant beaucoup de pharisiens et de sadducéens se présenter à son baptême, il leur dit : « Engeance de vipères !
Qui vous a appris à fuir la colère qui vient ?
Produisez donc un fruit digne de la conversion. N’allez pas dire en vous-mêmes : ‘Nous avons Abraham pour père’ ; car, je vous le dis :
des pierres que voici, Dieu peut faire surgir des enfants à Abraham.
Déjà la cognée se trouve à la racine des arbres : tout arbre qui ne produit pas de bons fruits va être coupé et jeté au feu.
Moi, je vous baptise dans l’eau, en vue de la conversion. Mais celui qui vient derrière moi est plus fort que moi, et je ne suis pas digne de lui retirer ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu. Il tient dans sa main la pelle à vanner, il va nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera son grain dans le grenier ; quant à la paille, il la brûlera au feu qui ne s’éteint pas. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Dimanche 18 décembre 2016 à 17h, la basilique du Sacré-Cœur de Grenoble accueillera l’orchestre des Musiciens du Louvre pour un concert exceptionnel.
Au programme : la messe de sainte Cécile de Scarlatti et le Dixit Dominus de Haendel sous la direction de Francesco Corti.
Une partie des recettes du concert financera l’oeuvre magistrale réalisée par Arcabas et l’Atelier Berthier-Bessac : les vitraux de la basilique.
Tarifs à 30€ et 40€ et pour les étudiants et moins de 18 ans : 15€
Vous pouvez acheter très facilement vos places sur le site de France Billet
Cliquez sur le lien ci-dessous pour découvrir l’affiche.
concert_18decembre
Nous faisons parti du groupe d’aumônerie des 14-15 ans.
Nous nous réunissons les samedis soirs de 17h30 à 21h30 une fois par mois.
Nos rencontres se déroulent à la maison paroissiale d’Anjou grâce à notre animateur Xavier autour de notre belle religion. Dans ces temps de partage, nous étudions la bible autour de plusieurs thèmes tels que le pardon, l’amour, le don, la famille…
Entre étude, repas et vidéo, notre groupe chemine dans la foi et espère obtenir les bases pour notre vie chrétienne adulte.
Lors de la messe des familles Le Père Jean-Claude a invité les enfants dans le chœurs de l’église pour que Thierry Merle Diacre de notre Paroisse explique aux enfants la
Préparation de la Table Eucharistique
L’Eucharistie est « source et sommet de la vie chrétienne ». Elle est le point culminant de la messe. Le prêtre, par son ordination au cours de laquelle l’évêque enduit ses mains d’huile sainte, est celui qui va consacrer le pain et le vin.
La consécration se fait sur l’autel, qui doit être exempt d’objets inutiles. N’y est posé que la lumière (un cierge), une croix, et le texte des prières.
Il revient au diacre de préparer la Table, et les enfants de chœur lui apportent ce qui lui est nécessaire.
Il commence par installer une petite nappe blanche toute propre (le corporal) : nous allons recevoir le Seigneur !
Ensuite sont posées les hosties et le calice pour le vin.
Le pain et le vin… la religion est souvent considérée comme bien compliquée … et pourtant, le Christ a choisi de nous rejoindre par ce qu’il y a de plus simple, et que nous consommons tous les jours !
Le Christ s’est sacrifié pour nous ; en mémoire de ce sacrifice, le diacre verse un peu d’eau dans le vin et dit à voix basse « comme cette eau se mêle au vin pour le sacrement de l’alliance, puissions-nous être unis à la divinité de celui qui a pris notre humanité »
Puissions-nous être unis à la divinité de celui qui a pris notre humanité… il n’y a peut être pas de plus beau souhait qui puisse exister pour un être humain, que cette demande ! En faire un commentaire est superflu : nos mots ne sont pas assez forts.
Le prêtre peut alors prendre sa place à l’autel. Il présente à l’assemblée ce qui va devenir corps et sang de notre Seigneur, puis il se lave les mains pour se purifier lui-même.
Il peut alors imposer les mains et prononcer les paroles de la consécration…