message aux paroissiens

Chers paroissiens,
Nous voici entrés depuis midi dans une période nouvelle et inconnue dans la lutte que toute l’humanité mène contre la pandémie due au virus covid19. Il est primordial pour chacun d’entre nous de respecter le plus strictement possible les consignes d’isolement demandées par le gouvernement, afin de limiter autant que faire se peut la propagation du virus et le nombre de personnes infectées. C’est notre devoir de citoyen responsable, c’est aussi et surtout notre devoir de chrétien.

Le Pape François nous rappelle souvent l’importance de la sauvegarde de notre maison commune, la terre.

En évitant d’être contaminé par le virus ou de le propager nous prenons soin de nous et de nos frères, en particulier ceux qui sont en situation la plus précaire. C’est ainsi que nous répondons au commandement du Christ d’aimer notre prochain. Cela ne doit pas nous empêcher de garder le contact avec eux (téléphone, mails, courses alimentaires si possible…). Mais ce temps d’isolement ne doit pas nous faire mettre notre foi et notre vie spirituelle entre parenthèses. Au contraire c’est le moment de nous adapter, d’innover en fonction des contraintes, de nous recentrer sur la prière et la Parole du Christ, de vivre notre foi en famille. La plupart des activités des paroisses et du diocèse sont interdites: formation, réunion, conseil paroissial, préparations baptêmes et mariages, et autres… et les accueils paroissiaux et maisons paroissiales tout comme la maison diocésaine sont fermés jusqu’à nouvel ordre. Toutes les liturgies publiques sont annulées, messes dominicales et en semaine, baptêmes, mariages, temps de prière, … pour les funérailles une adaptation permet une courte célébration au cimetière, et cela jusqu’à nouvel ordre.

Alors que pouvons-nous faire ? Comment vivre ce temps dans la foi et l’espérance ?

Prière : Prier chez soi, seul, en famille, avec les enfants en s’aidant de ce que l’église nous propose, offices de la liturgie des heures, prières sur différents supports ou sites.

Chapelet : le sanctuaire de Lourdes propose une neuvaine à Notre Dame de Lourdes à partir d’aujourd’hui 17 mars jusqu’au 25 mars. Nous pouvons nous y associer et le suivre si besoin sur KTO à 15h30.

Messe : suivre la messe du Pape le matin à 7h sur KTO (visible à toute heure de la journée en replay) ou l’écouter à la radio (RCF, Radio Espérance à 11h30) Ou être en union avec les prêtres de la paroisse : j’ai demandé que nous célébrions tous les quatre au même moment notre messe quotidienne, tous les jours à 11h30 afin que les paroissiens puissent s’unir à ce moment par la prière et la lecture des textes du jour. Pour le dimanche nous célébrerons ensemble en privé la messe dominicale à 10h30.

Lecture de la Parole : prendre le temps pendant la journée de lire un passage de la bible ou les lectures du jour pour être en union avec l’Église universelle…
Suivre le Christ c’est écouter se Parole la méditer et la mettre en pratique.

Voilà quelques pistes pour vivre notre foi dans ce temps de confinement qui renouvelle notre pratique.
Unis à tous par la prière
Père Jean-Hugues Malraison



Vendredi 14 février : soirée louange

Vendredi soir, en l’église des Cités à Roussillon, ce ne sont pas moins de 100 personnes qui ont répondu présents à l’appel lancé par les jeunes de l’AEP (Aumônerie de l’Enseignement Public) de Roussillon.

Tous ensemble, ils ont partagé 1h15 de louange au rythme des musiques du célèbre groupe GLORIOUS. C’est accompagnés par leurs deux animateurs que les huit jeunes se sont illustrés par leur dynamisme dans les danses et les chants, afin de transmettre au public toute la joie que représente ce type de prière.Les différents morceaux présentés abordent la joie d’être chrétien, la solidarité, la prière, le bonheur. Autant de notions importantes dans notre monde d’aujourd’hui et dans lesquelles se sont retrouvées les personnes venues assister à cette soirée : jeunes et adultes, hommes et femmes, personnes valides ou présentant un handicap

Cette soirée a également été l’occasion pour le père Davy, prêtre accompagnateur de l’AEP, de nous parler du verset suivant : « Et le Verbe s’est fait chair et Il a demeuré parmi nous » (Jean 1, 14).

A la suite de cette soirée, tous ont eu le plaisir de se retrouver dans la salle paroissiale des Cités pour partager un verre de l’amitié autour de boissons et de plats préparés par les jeunes en l’honneur des participants. Nombreux sont ceux qui, à cette occasion, ont manifesté leur agréable surprise de voir des jeunes investis dans l’Église, à l’origine de tels projets.
Et souvent cette question : « A quand la prochaine ? ».
Tout ceci conforte et motive notre jeunesse à être présente pour l’Église, et à travers l’Église, pour vous !

DIMANCHE DE LA SANTÉ LE 9 FÉVRIER…POUR TOUS LES FRAGILES DE LA VIE…

Ce 9 février, l’église d’Anjou était bien remplie à l’occasion du dimanche de la santé, dédié aux anciens, à ceux qui souffrent, à ceux qui sont fragiles, en rendant hommage à tous ceux qui donnent de leur temps pour une visite ou parfois un simple bonjour.

L’entrée des célébrants était introduite par 9 porteurs de bougies. 9 bénévoles qui visitent l’EHPAD de Notre Dame des Roches, la Résidence service de Champérin, la clinique des côtes du Rhône, l’EHPAD de Bellefontaine, les foyers logements de Cantédor et de Clariana, le centre de soins de Saint Prim, auxquels s’ajoutaient un représentant des visites à domicile, et un pour l’hospitalité.

Le Père Davy qui présidait la célébration à largement souligné le rôle indispensable des visiteurs pour apporter un peu d’humanité à ceux qui ont perdu une partie de leur autonomie, voir qui se retrouvent désormais seuls après le départ de l’être aimé.

Deux visiteurs ont ensuite fait part de leur témoignage, et ont souligné l’attente des anciens, et l’ampleur de la mission.

En suivant le Christ, qui s’est abaissé au rang de l’homme le plus pauvre, nous ne pouvons que rappeler la grandeur, mais aussi l’exigence de notre foi…

Un apéritif servi à la fin de la messe, a permis à chacun d’échanger de façon très amicale.

Ceux qui seraient intéressés par le service de la visite peuvent appeler Béatrice MERLE au 06 06 53 26 02.

Le sacrement de la réconciliation :  » la confession »

Frères et sœurs,
 » Au nom du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu » 2Cor 5, 20
Le sacrement de la réconciliation est l’un « des oublis de dimanche ». On n’y pense pas souvent.  Il est bien de rappeler ici que ce sacrement par lequel nous accueillons la grâce et la miséricorde de Dieu, est heureusement toujours d’actualité.
Là où il y a les péchés, là surabonde la grâce de Dieu.  Le péché, c’est quoi? D’emblée, c’est tout ce qui nous coupe de Dieu. Et la confession sert à renouer ce lien coupé entre nous et Dieu. Chacun de nous est relié à Dieu par une corde, il y a des moments où la corde est tendue, et plusieurs fois, elle est coupée. Plus on fait de nœud reliant le lien coupé, plus la corde se raccourci. Cette image rappelle l’importance de la confession dans notre vie spirituelle. Elle nous rapproche de Dieu.
Ne laissons donc pas tomber dans l’oubliette ce sacrement du pardon qui nous procure tant de bien.   « Nous sommes soulagés, nous nous sentons libres,  apaisés et  aimés de Dieu dans nos faiblesses, et dans nos fragilités.  Voilà, ce que nous ressentons  après la confession. Que des grâces. 
Le Dieu d’amour et de miséricorde nous pardonne à chaque fois que nous lui demandons pardon. La joie d’être pardonnée, n’a pas de prix.  Nous ne pouvons pas également imaginer la joie de Dieu de nous retrouver, ses enfants qu’il a tant attendus.  « Il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit ‘(Lc 15,10)
Nous sommes attendus. Profitons ce temps de l’Avent, venons entretenir notre vie spirituelle par la confession, par l’entretien, ou pourquoi pas par une simple rencontre avec les prêtres. N’ayons pas peur d’eux, ils sont là pour ne pas vous juger mais pour témoigner l’amour  et la miséricorde de Dieu pour chacun de nous. 

AVENT 2019

Célébrations pénitentielles suivies de confessions individuelles.

Église d’Agnin, mardi 17 Décembre, 15 h.

Église de Saint Clair du Rhône, mardi 17 Décembre à 19 h.

Église de Salaise sur Sanne, vendredi 20 Décembre à 15 h.

Église de Ville sous Anjou, vendredi 20 Décembre à 19h.

Confessions individuelles

Églises de Péage de Roussillon et d’Anjou de 10h à 11 h.

Samedi 30 Novembre 2019

Samedi  7 Décembre 2019

Samedi 14 Décembre 2019 

Samedi 21 Décembre 2019.


Les couleurs des temps liturgiques

Le fond de couleur de l’entête de notre site internet change selon le temps liturgique où nous sommes.Petit rappel :Au XVI° siècle, avec le Concile de Trente il est admis cinq couleurs, déjà utilisées depuis longtemps :

le blanc, le rouge, le vert, le violet, le noir. Ces couleurs sont signifiantes car elles expriment la fête, la passion, l’espérance, la pénitence, le deuil.C’est au XIX° siècle que ces couleurs liturgiques ont été définitivement codifiées.Il y a également une tradition de couleur rose pour certains dimanches de l’Avent et du Carême et de couleur bleue pour les fêtes mariales.

Le vert : Couleur liturgique du temps ordinaire, évoquant la croissance de l’Église, grâce à la sève venue de Dieu.Le Violet : Dans la liturgie, le violet est la couleur des temps de pénitence (Avent et Carême) ; on l’uti­lise aussi pour les célébrations pénitentielles, ainsi que pour les offices des défunts

Le rouge : Couleur liturgique qui évoque le sang ou le feu. Elle est utilisée le dimanche de la Passion (ou dimanche des Rameaux), le Ven­dredi saint, le jour de la Pentecôte et aux messes en l’honneur du Saint-Esprit, en la fête de l’Exaltation de la sainte Croix le 14 sep­tembre, aux fêtes des Apôtres et évangélistes, et aux fêtes des saints martyrs.

Le blanc : Couleur liturgique des ornements utilisés au temps de Noël et au temps pascal. On la retrouve aux fêtes de la dédicace, de la Vierge Marie, des anges, des pasteurs, des docteurs de l’Église, des saints et des saintes qui ne sont pas martyrs. Le blanc évoque la pureté, mais plus encore la Gloire divine et l’éclat de tout ce qui touche à Dieu. C’est la couleur de la résurrection.

Le noir : Peut être utilisée lors des messes d’enterrement et le 2 novembre (commémoration des défunts). Parfois le violet remplace le noir.

Le rose : La couleur rose est portée moins fréquemment que les autres couleurs et utilisée 2 fois par an, pour les dimanches de Laetare (4eme dimanche de Carême) et de Gaudete (3eme dimanche de l’Avent).