Invitation : Dans le cadre de la Nuit des Églises, une performance musicale immersive, durant laquelle des improvisations de guitares (6 cordes, 12 cordes, barytone) agrémentées de modulations analogiques (réverbérations, delays, chorus, harmonizers) vous emportent pour un voyage intérieur.
Entre la méditation et la prière, cette expérience veut être un moment de recueillement, dans l’église Notre-Dame des Cités
vendredi 4 juillet à 20h rue Jean Moulin, 38 150 Roussillon
* Gratuit, seul le silence est requis.
* N’hésitez pas à emmener grignotes et autres pour un moment convivial partagé après la représentation !
* Avec l’aimable autorisation et soutien de la paroisse Saint-Pierre en pays Roussillonnais
Sébastien Dos-Santos
Responsable communication / Église en dialogue 04 38 38 00 49 / 06 28 25 70 69
Maison diocésaine de Grenoble 12 place de Lavalette – CS 90051 38028 GRENOBLE cedex 1
L’association « Sur les pas de Saint Juste » créée récemment, a pour but de remettre au grand jour le pèlerinage de Saint Juste qui exista du XII° siècle jusqu’à la Révolution de 1789. Parallèlement, une fête en l’honneur de Saint Juste dont une partie de ses reliques reposent en l’église Saint Juste, était célébrée le 6 juillet de chaque année.
Ainsi, avec l’accord du Père Armand, cette association organise un mini pèlerinage le dimanche 6 juillet 2025: Rassemblement dès 8 heures devant l’église Saint Juste de Salaise sur Sanne pour rejoindre le site de la Fontaine de Saint Juste, rue Vaillant Couturier, puis passage au Prieuré de Salaise avant de rejoindre l’église Saint Juste où sera célébrée la messe à 11 heures par le père Armand. A l’issue de cette messe, rassemblement à l’église des Cités rue Jean Moulin de Roussillon vers 12 heures 30 pour un repas festif sous les ombrages : Jambalaya, Fromages Fruits, Tarte Tatin, vin, café compris: 15 euros, enfants moins de 12 ans: 10 euros. Informations, Réservations obligatoires: Robert Valette : 06.85.43.22.45, Sophie Varaldi : 06.62.87.75.43, Chantal Béchard : 06.26.64.23.36.
Samedi 24 et dimanche 25 mai, les jeunes de l’aumônerie de nos deux paroisses, St Pierre et Notre-Dame, pour préparer la fête de fin d’année pastorale 2024-2025, prennent un week-end découverte et un temps spirituel au sanctuaire Notre Dame de la Salette. Nos jeunes sont très sensibles aux questions spirituelles Très en recherche du sens. Que Marie Notre-Dame de la Salette intercède pour nos jeunes adolescents.
Un dimanche qui semblait pourtant comme les autres à l’église d’Anjou pour la messe dominicale : une église remplie par une population de tous les âges.
Cependant, deux adultes, qui ont cheminé depuis près de deux ans, étaient là aujourd’hui pour recevoir le baptême : il s’agit de Nusret et Mekin Ademir. Leur conversion récente, et leur amour pour le Christ les a poussés à demander le baptême.
C’est Thierry, diacre qui a assuré ce sacrement, puisqu’il avait suivi leur parcours.
C’est après l’homélie, centrée sur le Bon Pasteur -c’est-à-dire Dieu qui nous connait et nous appelle par notre nom- que Thierry a béni l’eau ; cette eau qui permet la vie, qui abreuve notre soif de foi et d’infini… cette eau, qui est celle du baptême !
Nusret et Mekin ont dû auparavant répondre aux questions qui leur ont été posées : « rejetez-vous le mal ? » … « Croyez-vous en Dieu, le créateur ? » « Croyez-vous en la vie éternelle ? »… Puis, après une dernière demande, ils ont alors été baptisés par l’eau qui venait d’être bénite.
Le Saint Chrême à fait d’eux des prêtres (parce qu’ils acceptent de pratiquer) des prophètes (pour que pour eux, le nom de Dieu ne soit pas tabou) et des rois (pour qu’ils prennent tout homme en considération), puis la lumière leur a été transmise. Leur parrain leur a remis alors l’écharpe blanche signe de résurrection, et l’assemblée a pu, par un alléluia festif et sous les applaudissements, se réjouir avec eux.
De l’émotion se lisait sur le visage de Nusret et de Mekin. Quel bonheur de voir aujourd’hui de jeunes hommes répondant à l’appel de Dieu pour élargir l’horizon des hommes et prendre soin de la société !
Salle des Cités le 7 mai 2025 à 16h A l’invitation du Père Armand, curé, ont répondu 29 paroissiens (15 de Notre Dame, 14 de St Pierre). Etaient présents également les Pères Aimé et Paul ainsi que Thierry, diacre.
Après un temps de prière en union avec les cardinaux réunis en conclave, le Père Armand a développé le sujet principal du jour : les travaux sur les maisons paroissiales d’Anjou et des Cités, ces deux maisons devant être rénovées pour répondre aux besoins de la mission. Puis chacun a pu prendre la parole.
La maison paroissiale d’Anjou est une maison de proximité pour Notre Dame des Sources. L’étage de cette maison ne pouvant plus être utilisée que par des bureaux, l’essentiel des travaux se résume en la transformation du Rez de chaussée pour disposer d’une grande salle de 60 m² avec une cloison amovible pour faire travailler deux groupes simultanément. A noter que cette maison appartient à la commune d’Anjou ; un bail emphytéotique avait été signé pour 99 ans : il reste 71 ans à courir.
La maison des sœurs des Cités va être transformée pour devenir la maison paroissiale de Saint Pierre (la location du Péage sera abandonnée) mais servira aussi de centre paroissial (accueil des activités communes aux deux paroisses). Les travaux y seront donc beaucoup plus lourds, mais tout le tènement des Cités est ici propriété de l’Église. Les travaux consistent à accueillir en R+1 (Rez de chaussée + 1er étage) un espace accueil, des salles de travail et de réunion, ainsi qu’un logement pour un prêtre. Pendant les travaux, le Père Aimé logera à l’étage de la maison du curé, avec un aménagement pour le rendre correctement habitable.
Après le temps des remarques, des questions et des réponses, le Père Armand a évoqué deux autres sujets : Les ressources financières à savoir : le denier de l’Église (pour le salaire des prêtres et des laïcs salariés du diocèse), le casuel (pour la mission) et les quêtes (pour les dépenses ordinaires), ne sont pas un sujet annexe. Chacun doit être concerné par l’importance des moyens financiers indispensables à l’Église afin que l’évangile soit annoncé. En 2026, il n’y aura plus que deux prêtres (et un diacre) pour le service des deux paroisses. Le calendrier des messes sera revu dès septembre lors d’une rencontre générale. Il ne s’agit pas de « vouloir sa messe » dans son clocher, mais d’adapter les célébrations aux réalités pastorales sans oublier les réalités sociales du terrain que l’Église doit rejoindre.
Les 3 messes fixes doivent être renforcées. Une réflexion doit s’engager sur l’agglomération pour articuler les messes des Cités et du Péage. Mais avec deux prêtres, il y aura forcément des renoncements. Rédigé par Thierry