Une messe de la nuit de Noël qui a remplie toutes ses promesses.
Traditionnellement, la messe de la veille au soir de Noël est celle qui connait la plus forte affluence : dans nombre de familles de tradition chrétienne, la messe donne en effet tout son sens à la fête de Noël.
C’était encore largement le cas cette année, où il a été difficile de faire rentrer tout le monde dans l’église d’Anjou pourtant vaste, et où nombre de chaises avaient été rajoutées. Il est possible que l’on n’avait pas vu autant de monde depuis bien longtemps.


C’est par une veillée préparée et assurée par les enfants de la catéchèse que la célébration a débuté. Le thème retenu mettait en jeu tous les personnages de la crèche : Joseph et Marie bien sûr, mais aussi l’âne et le bœuf, ainsi que les bergers. Une merveilleuse façon d’accueillir la venue du Christ Sauveur, lui qui est venu…pour tout sauver. Un merci à tous les adultes qui les ont encadrés et qui ont eux-mêmes participé.
La célébration a pu ensuite débuter, assurée par le Père Aimé, assisté par Thierry, diacre, et par nombre d’enfants de chœur et de servantes d’assemblée. Les chants, pour l’essentiel pris dans le répertoire traditionnel, ont été assurés par Agnès à l’orgue, Patrick à la trompette et le petit groupe de chants qui a largement rehaussé la célébration.

A la communion, nombre de jeunes sont venus demandés la bénédiction, signe que Noël appelle encore en 2025 (ou de nouveau en 2025 ?) ceux qui sont en recherche de Vérité et de sens à leur existence.