Compte Rendu de la rencontre des équipes paroissiales élargies

Salle des Cités le 7 mai 2025 à 16h
A l’invitation du Père Armand, curé, ont répondu 29 paroissiens (15 de Notre Dame, 14 de St Pierre). Etaient présents également les Pères Aimé et Paul ainsi que Thierry, diacre.

Après un temps de prière en union avec les cardinaux réunis en conclave, le Père Armand a développé le sujet principal du jour : les travaux sur les maisons paroissiales d’Anjou et des Cités, ces deux maisons devant être rénovées pour répondre aux besoins de la mission. Puis chacun a pu prendre la parole.

La maison paroissiale d’Anjou est une maison de proximité pour Notre Dame des Sources. L’étage de cette maison ne pouvant plus être utilisée que par des bureaux, l’essentiel des travaux se résume en la transformation du Rez de chaussée pour disposer d’une grande salle de 60 m² avec une cloison amovible pour faire travailler deux groupes simultanément.
A noter que cette maison appartient à la commune d’Anjou ; un bail emphytéotique avait été signé pour 99 ans : il reste 71 ans à courir.

La maison des sœurs des Cités va être transformée pour devenir la maison paroissiale de Saint Pierre (la location du Péage sera abandonnée) mais servira aussi de centre paroissial (accueil des activités communes aux deux paroisses). Les travaux y seront donc beaucoup plus lourds, mais tout le tènement des Cités est ici propriété de l’Église.
Les travaux consistent à accueillir en R+1 (Rez de chaussée + 1er étage) un espace accueil, des salles de travail et de réunion, ainsi qu’un logement pour un prêtre. Pendant les travaux, le Père Aimé logera à l’étage de la maison du curé, avec un aménagement pour le rendre correctement habitable.


Après le temps des remarques, des questions et des réponses, le Père Armand a évoqué deux autres sujets :
Les ressources financières
à savoir : le denier de l’Église (pour le salaire des prêtres et des laïcs salariés du diocèse), le casuel (pour la mission) et les quêtes (pour les dépenses ordinaires), ne sont pas un sujet annexe. Chacun doit être concerné par l’importance des moyens financiers indispensables à l’Église afin que l’évangile soit annoncé.
En 2026, il n’y aura plus que deux prêtres (et un diacre) pour le service des deux paroisses. Le calendrier des messes sera revu dès septembre lors d’une rencontre générale. Il ne s’agit pas de « vouloir sa messe » dans son clocher, mais d’adapter les célébrations aux réalités pastorales sans oublier les réalités sociales du terrain que l’Église doit rejoindre.

Les 3 messes fixes doivent être renforcées. Une réflexion doit s’engager sur l’agglomération pour articuler les messes des Cités et du Péage. Mais avec deux prêtres, il y aura forcément des renoncements.
Rédigé par Thierry

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